LA CRISE GRECQUE

La Grèce et l'Union européenne tentent de sortir de la crise dans laquelle le pays, menacé de cessation de paiement, doit organiser un référendum dimanche 5 juillet, décidé par le Premier ministre Alexis Tsipras.

Le Premier ministre grec sortant Alexis Tsipras et son parti Syriza ont remporté dimanche 20 les élections législatives anticipées. Une victoire pour un Alexis Tsipras à la recherche d'une nouvelle légitimité, suite à la fronde de son aile gauche.
Les élections législatives anticipées en Grèce, provoquées par la démission du Premier ministre Alexis Tsipras le 20 août, se dérouleront le 20 septembre prochain. Syriza, le parti du chef du gouvernement sortant, est en tête des sondages.
Les députés frondeurs du parti au pouvoir Syriza ont annoncé ce vendredi faire sécession pour créer un nouveau mouvement. Une décision prise suite à la démission du Premier ministre Alexis Tsipras et l'annonce de nouvelles élections législatives dans un mois.
En difficulté avec sa majorité dont une partie lui reproche l'accord conclu avec les dirigeants européens, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a annoncé jeudi soir sa démission et a convoqué de nouvelles élections législatives.
Les députés grecs ont adopté ce vendredi le troisième plan d'aide européen de 86 milliards d'euros, quelques heures avant la réunion de l'eurogroupe. Le Premier ministre Alexis Tsipras a une nouvelle fois dû faire face à la fronde de certains députés de son propre parti.
La Grèce et ses créanciers viennent de trouver un accord sur les modalités d'un nouveau plan d'aide d’au moins 82 milliards d’euros. Il s’agit du troisième depuis 2010.
La Bourse d'Athènes a plongé de plus de 22% dans les premiers échanges ce lundi au jour de sa réouverture, après être restée fermée durant cinq semaines.
Vendredi 24, cédant aux pressions de ses partenaires européens et surtout de l'Allemagne, le ministre grec des Finances, Euclide Tsakalotos, a publié une lettre envoyée au FMI dans laquelle il lui demande "un nouveau crédit".
Le Parlement grec a adopté à une large majorité le second volet de mesures demandées par les créanciers de la Grèce en échange du nouveau plan d'aide. Le Premier ministre Alexis Tsipras a encore une fois dû aller chercher les voix de l'opposition, alors que l'aile gauche de sa majorité le lâche.
L'ancien patron du Fonds monétaire international a déploré "les conditions" de l'accord convenu entre la Grèce et ses créanciers. Selon Dominique Strauss-Khan, l'Allemagne a été dictée par l'idéologie et non par les intérêts de l'Europe.
Suite à l'accord conclu récemment entre la Grèce et ses créanciers, l'argent européen recommence à affluer dans le système financier du pays, qui retrouve un peu d'air. Les banques grecques ont ainsi pu rouvrir leurs portes ce lundi tandis que doit s'appliquer à partir de ce jour également la hausse de la TVA prévue par le texte signé entre Athènes et Bruxelles.
Les Grecs devraient pouvoir retirer plus d'argent dans leurs banques à partir de lundi 19. Des retraits qui restent cependant très encadrés pour éviter une ruée.
Suite à la rébellion d'une partie de sa majorité lors du vote au Parlement des réformes imposées par l'Europe, le premier ministre Alexis Tsipras a décidé de remanier son gouvernement et de remplacer certains de ses frondeurs.
Ce vendredi 17, le Bundestag, la chambre basse du Parlement allemand, a validé l'accord conclu lundi 13 entre la Grèce et Bruxelles, censé ouvrir la voie à un nouveau plan d'aide et éviter un "Grexit". Dans le même temps, l'Union européenne a décidé d'accorder un financement d'urgence de 7,16 milliards d'euros à Athènes.
Le Parlement grec a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une série de dures réformes demandées par les créanciers de la Grèce en préalable à un nouveau plan d'aide. Plusieurs députés de Syriza, le parti au pouvoir, ont voté contre.
Une très large majorité de députés et de sénateurs français ont approuvé ce mercredi l'accord conclu entre le gouvernement grec d'Alexis Tsipras et Bruxelles. Le texte, qui doit encore être validé par sept autres parlements nationaux, dont celui d'Athènes, doit mener à un nouveau plan d'aide à la Grèce.
Michel Sapin était ce mardi matin l'invité de RMC-BFM TV. Ne tarissant pas d'éloges sur Alexis Tspiras, le ministre du Travail est notamment revenu sur l'accord récemment conclu entre le Premier ministre grec et ses créanciers. Il a également évoqué le chômage et le retour à la croissance en France.
Après une nuit de difficiles tractations, les dix-neuf dirigeants de la zone euro se sont mis d'accord pour négocier un troisième programme d'aide à la Grèce. La dette grecque sera restructurée mais les réformes imposées par la zone euro risquent d'accentuer l'austérité en Grèce.
Au terme d'une longue nuit de discussions et de négociations, les dix-neuf dirigeants de la zone euro se sont mis d'accord pour négocier un troisième programme d'aide à la Grèce. Suite à cette décision, François Hollande a tenu ce lundi matin une conférence de presse.
A l'issue d'une soirée et d'une nuit de négociations, un projet de compromis a été mis sur la table, ce lundi matin, par Angela Merkel, François Hollande, Alexis Tsipras et Donald Tusk.
Alors que les dirigeants de la zone euro se réunissent ce dimanche à Bruxelles pour discuter du sort de la Grèce, François Hollande a exprimé sa détermination à trouver un accord favorable au pays. Une position absolument pas partagée par Angela Merkel.
Samedi 11, les ministres des Finances de la zone euro ne sont pas parvenus à trouver d'accord concernant les propositions soumises par la Grèce à ses créanciers. Par conséquent, les négociations se poursuivent ce dimanche et le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement européen initialement prévu dans l'après-midi a été annulé.
Le Parlement grec a adopté dans la nuit de vendredi à ce samedi les propositions soumises par le gouvernement aux créanciers du pays. Le Premier ministre Alexis Tsipras a toutefois enregistré les défections de plusieurs députés de son parti de gauche radicale Syriza, dont trois personnalités très importantes de sa majorité.
Les ministres des Finances de la zone euro discutent ce samedi sur les nouvelles réformes proposées par le gouvernement grec en échange d'un troisième programme d'aide internationale.
Portées par les propositions de réformes soumises par Alexis Tspiras à ses créanciers jeudi 9, les bourses européennes ont ouvert en forte hausse ce vendredi. Selon les traders, les investisseurs ont repris confiance quant à un possible accord entre la Grèce et ses partenaires européens lors du sommet de dimanche prochain 12 juillet.
Les propositions réclamées par les créanciers de la Grèce pour la réouverture des négociations sont bien arrivées jeudi 8, à 22h. Le texte d'Alexis Tsipras reprend largement les réformes exigées par ses interlocuteurs mais est assorti d'une nouvelle demande de plan d'aide.
Claude Bartolone était l'invité de France Inter ce mercredi matin. Le président de l'Assemblée nationale a fait part de son souhait de voir la Grèce rester dans l'Europe et s'est exprimé au sujet de la loi Macron, de retour à l'Assemblée jeudi 9.
Devant l'Assemblée nationale, Manuel Valls a demandé fermement mercredi au gouvernement d'Alexis Tsipras de réformer son pays. Il a également mentionné qu'un futur accord entre la Grèce et ses créanciers serait soumis au vote des députés français.
François Fillon était l'invité de RTL, ce mercredi matin. L'ancien Premier ministre et député de Paris est largement revenu sur la crise grecque et réaffirmé qu'il n'est "évidement pas favorable" à ce que la Grèce sorte de la zone euro.
Arrivé les mains vides de propositions au sommet de mardi 7, Alexis Tsipras a demandé un sursis pour préparer son plan de reforme. Ses partenaires, et créanciers, lui ont donné cinq jours.
Les chefs d'Etat des 19 pays membres de la zone euro se réunissent ce mardi à Bruxelles pour un sommet extraordinaire afin de se mettre d'accord sur la réouverture, ou non, des négociations avec la Grèce. Le scénario du Grexit n'est désormais plus exclu, et ce jusque dans les couloirs de Bruxelles.
Michel Sapin était l'invité d'Europe-1, ce lundi matin. Au lendemain de la victoire au "non" au référendum grec, le ministre français des Finances a estimé que c'est désormais "au gouvernement grec de faire des propositions" pour que les négociations puissent reprendre, "au plus vite".
Au lendemain du référendum qui a vu le "non" l'emporter en Grèce à propos des propositions des créanciers d'Athènes, le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, a annoncé sa démission ce lundi matin. "On m'a informé que certains membres de l'Eurogroupe préféraient que je sois absent des réunions", explique-t-il dans un article publié sur son blog.
Les Grecs ont dit "non" à plus de 61% aux propositions de réformes de leurs créanciers. Une victoire pour le Premier ministre Alexis Tsipras, qui souhaite maintenant la réouverture des négociations, pourtant rompues depuis plus d'une semaine, sur un plan d'aide à la Grèce.
C'est le "non" qui l'a nettement emporté dimanche au référendum grec: les électeurs grecs ont majoritairement repoussé, à l'appel de leur Premier ministre Alexis Tsipras, le plan de sauvetage économique présenté par les créanciers du pays.
Les Grecs choisiront dimanche s'ils acceptent ou non la proposition des créanciers au terme d'un référendum organisé par le Premier ministre Alexis Tsipras. Selon plusieurs sondages relayés dans la presse, le "oui" l'emporterait.
Le Premier ministre de la Grèce Alexis Tsipras s'est adressé ce mercredi après-midi à la nation. Il a maintenu le référendum prévu dimanche et son appel à répondre non à la question posée.
Alors que la Grèce est en cessation de payement depuis ce mercredi 1er juillet et ne peut pas honorer ses engagements envers le FMI, son Premier ministre Alexis Tsipras pourrait lâcher du lest et revenir sur son projet de référendum. De son côté, François Hollande a fait part de son agacement.
La Grèce s'est retrouvée dans la nuit de mardi 30 à ce mercredi en situation de défaut de paiement. Faute d'accord avec ses créanciers, le pays n'a pas pu rembourser 1,5 milliard d'euros au Fonds monétaire international. Si le risque de sa sortie de l'euro enfle, il est encore possible qu'un accord soit trouvé dans les jours qui viennent.
Michels Sapin était ce matin l'invité de France-2 alors que la Grèce devrait se trouver ce soir en défaut de paiement. Le ministre des Finances espère que la Grèce reviendra à la table des négociations, mais affirme que son éventuelle sortie de l'euro n'aurait pas de conséquence sur l'économie française.
La Grèce et ses créanciers sont dans l'expectative. Dimanche 5 juillet, les Grecs s'exprimeront par référendum sur le plan de sauvetage financier de leur pays. Un vote qui pourrait tout faire basculer.
La Grèce et ses créanciers sont dans l'expectative. Dimanche 5 juillet, les Grecs s'exprimeront par référendum sur le plan de sauvetage financier de leur pays. Un vote qui pourrait tout faire basculer.
Alors que la Grèce se dirige tout droit vers un défaut de paiement, François Hollande s'est exprimé ce lundi matin, estimant qu'un accord était toujours possible avec l'Union européenne. En parallèle, le chef de l'Etat a tenu à rassurer les Français assurant que l'économie française n'était pas menacée quel que soit le scénario à venir.
Fermeture des banques et de la bourse, contrôle des capitaux: la Grèce cadenasse son système financier pour éviter une panique après l'échec des négociations sur le plan d'aide et avant un probable défaut de paiement.
Michel Sapin était l'invité de France Inter ce lundi matin. Alors qu'Athènes se dirige tout droit vers un défaut de paiement, le ministre des Finances a rappelé l'importance de reprendre le dialogue afin d'éviter une éventuelle sortie du pays de la zone euro.
Le référendum voulu par le Premier ministre grec Alexis Tsipras sur la dernière offre d'accord faite par l'Union européenne et le FMI à Athènes a été approuvé dans la nuit de samedi à ce dimanche par le Parlement. La consultation aura lieu le 5 juillet.
Quelques heures avant l'Eurogroupe de ce samedi à Bruxelles sur la question de la dette grecque, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a annoncé la tenue d'un référendum le 5 juillet sur le plan d'aide au pays.
Pris entre ses engagements anti-austérité envers ses électeurs et l'Union européenne qui le somme de trouver un moyen de rembourser la dette grecque, Alexis Tsipras amorce une semaine de négociations décisives.
François Hollande a reçu ce mercredi le Premier ministre grec Alexis Tsipras. Il a plaidé pour un compromis entre une Grèce qui doit respecter ses engagements et une Europe qui doit tenir compte de la volonté du peuple grec.
La Banque centrale européenne a décidé, mercredi 4, de suspendre le régime de faveur qu'elle avait accordé aux banques grecques, considérant qu'elle n'avait pas suffisamment de garanties sur les orientations économiques de la nouvelle équipe gouvernementale. Depuis, les banques dégringolent à la Bourse d'Athènes.
Syriza, le nouveau parti au pouvoir en Grèce, est en campagne auprès des dirigeants européens pour obtenir un compromis quant au remboursement de sa dette. Une démarche qui oblige les gouvernements à jongler entre fermeté et souplesse face à ce pays en grande difficulté.
François Hollande a officiellement invité le nouveau Premier ministre grec Alexis Tsipras à venir le rencontrer rapidement à l'Elysée, a-t-on appris ce mercredi. Au menu de la rencontre: la dette, forcément.
Thomas Piketty était l'invité de France Inter, ce lundi matin. L'économiste est notamment revenu sur la victoire, et ses conséquences, du parti de gauche radicale Syriza aux élections législatives grecques de dimanche 25.
Alexis Tsipras, après avoir obtenu une coalition entre son parti Syriza et la formation des Grecs indépendants, a été intronisé dans ses nouvelles fonctions de Premier ministre. Son premier geste a été de rendre hommage à des résistants communistes fusillés en 1944 par les nazis.

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